ATF00745
Utilisé
N° 748/749. Neuf sans charnière. Pour conserver au mieux vos précieux timbres nous vous conseillons ce classeur Leuchtturm ou les albums préimprimés Lindner.
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Objet de recherche | Timbre |
Conditionnement : | A l'unité ou Série |
Continent : | Europe |
Année : | 1946 |
Emission : | 4 février 1946 |
Date de retrait : | 24 mai 1946 |
Dessinateur : | Lemagny Paul-Pierre., Munier Pierre. |
Graveur : | Munier Pierre., Dufresne Charles Paul. |
Devise : | Franc |
Impression : | Taille douce |
Qualité : | Neuf avec charnière |
N° Yvert : | 748 |
Pays : | France |
A la demande du ministère de la Santé publique, une série de deux timbres-poste surtaxés est émise pour la propagande sanitaire.
Chaque timbre est tiré à 2,23 millions d’exemplaires.
Dessin : Paul-Pierre Lemagny. Gravure : Charles Paul Dufresne
Ce timbre est grevé d’une surtaxe de 3 francs versée à la Société de prophylaxie sanitaire et morale, dont le fondateur est précisément Alfred Fournier. Il est le troisième timbre émis au profit de cette société, après ceux « Pour sauver la race » (N° 356 et N° 419).
Les organisations, les dispensaires et des particuliers se plaignent de son tirage considéré comme limité, et réclament un nouveau tirage, afin de pouvoir apporter leur participation à la lutte contre le péril vénérien.
Dessin et gravure : Pierre Manier
Grevé d’une surtaxe de 3 francs versée à la Ligue française contre le cancer, il participe à la lutte contre cette maladie.
Ce second timbre-poste aurait été émis à l’occasion du cinquantenaire de la publication de l’ouvrage d’Henri Becquerel sur les radiations invisibles de l’uranium.
Le président et le secrétaire général de la Ligue contre le cancer souhaitaient une illustration du timbre-poste inspirée de l'insigne de cette Ligue. La teinte violette du timbre aurait été choisie pour évoquer l’ultraviolet.
À propos de cette couleur violette, la presse philatélique regrette la stabilité des couleurs, qui avait été, autrefois, l’une des qualités de la production de l’atelier du boulevard Brune, et révèle que les violets français ne résistent plus à l’eau et déteignent sur les marges. Elle cite le 2 F + 2 F Rouen de la série des villes martyres (N° 745) et ce 2 F + 3 F Becquerel. On s’interroge : « Ne pourrait-on pas renoncer au violet jusqu’à ce que l’on trouve une couleur stable ? »
Dès la mise en vente, le timbre est épuisé dans de nombreux endroits.